Tous aux abris les Vendéens,
les Parisiens débarquent dans les zones
non confinées, en fait comme l'an dernier,
lors du 1er confinement! On n'a pas beaucoup avancé en 1 an et certainement pas comme on aurait pu l'espérer!
Les Touristes sont bien gentils mais ils sont assez inconscients de venir s'évader pour échapper au confinement (d'ailleurs qui n'est pas totalement "confiné" puisque vous avez la possibilité de sortir faire du sport jusqu'à 10 kms de chez vous sans limitation de durée, alors il ne faut pas s'en priver!)
Mais en Vendée, nous n'avons que peu
de moyens médicaux et les hôpitaux risquent
de vite saturer. Propager le variant anglais,
se mélanger au variant breton
et créer un variant vendéen...
c'est ce qui risque de se produire! Le Français est devenu de plus en plus individualiste et c'est bien triste: la nouvelle devise hélas est "chacun pour soi"... VOIR article de midi libre ci dessous:
De nombreux Franciliens ont réservé des billets de trains à destination des départements épargnés par le troisième confinement. Midi Libre - JEAN MICHEL MART
Après l’annonce ce jeudi 18 mars du confinement de seize départements, de nombreux Franciliens ont acheté des billets de train pour tenter de fuir la zone confinée.
Après les annonces de Jean Castex ce jeudi 18 mars, décrétant un troisième confinement dans seize départements, de nombreux Franciliens auraient réservé des billets de train pour fuir la zone en direction des départements où le confinement n’est pas appliqué, notamment l’ouest de la France, la Bretagne ou le Pays basque, rapporte le Parisien.
Des prix élevés, des trains completsL’effet confinement ne s’est donc pas fait attendre puisque déjà jeudi soir, juste après les annonces du gouvernement, il ne restait qu’un Ouigo au départ de Massy (Essonne), pour se rendre à Vannes ou à Biarritz.
Pour partir depuis Paris et se rendre à Saint-Jean-de-Luz, Quimper ou encore Saint-Malo, il fallait compter entre 110 et 150 euros, avec des trajets parfois très longs. Pour se rendre à Montpellier depuis Paris ce vendredi, il faut compter plus de 100 euros. Impossible également de se rendre à Rennes ce vendredi, indique une journaliste de France 3 Bretagne.
La SNCF, qui ne dispose pas encore d’assez de recul pour confirmer un effet confinement, a toutefois renforcé ses effectifs pour tout le week-end dans les gares, indique sur Twitter un journaliste de RTL.
La SNCF vient de déclencher ce soir un appel aux Gilets Rouges pour une "opération affluence avant confinement"
Leur présence est demandée dès demain matin, notamment en gare de Paris Montparnasse.
Morgane Masson
Le président de la commission médicale du centre hospitalier départemental de Vendée est en colère contre ceux qui ont quitté les villes pour leur résidence secondaire. Il les accuse d'avoir transporté le virus.
Philippe Feigel, président de la commission médicale du centre hospitalier départemental de Vendée, prévoit sur franceinfo
"une catastrophe sanitaire garantie" après l'arrivée à la campagne ou en bord de mer d'urbains fuyant le confinement en ville contre le coronavirus. Selon le docteur Feigel, la "catastrophe"
a même déjà commencé.
Certains de ces vacanciers "sont arrivés avec des symptômes", raconte le Dr Feigel. "Plusieurs collègues m'ont dit qu'ils avaient reçu des patients avec un syndrome viral fébrile. Et actuellement, jusqu'à preuve du contraire, un syndrome viral fébrile, c'est un coronavirus", poursuit-il.
Les urbains venus se réfugier en Vendée sont pointés du doigt par le médecin. "Ils sont arrivés le week-end dernier. Et dès le lundi matin, les cabinets de ville étaient submergés par les patients fébriles, avec des douleurs céphaliques, et qui avaient des symptômes d'infection", tonne Philippe Feigel.
Ils sont arrivés dans un territoire où on sait que l'offre de soins est relativement faible, beaucoup plus faible qu'en Île-de-France, avec un service de réanimation tout petit.à franceinfo
Ces voyages vers les résidences secondaires ont "diffusé l'infection un peu plus vite", selon le Dr Feigel. Il préconise de renforcer le confinement "pour étaler l'épidémie au maximum et pour ne pas se retrouver dans la situation de l'Alsace ou du nord de l'Italie".
Relativement épargnée jusqu'ici,
la Vendée connaît une hausse des contaminations depuis quelques jours. L'épidémie "monte très très vite", affirme Philippe Feigel qui recense 30 personnes prises en charge à l'hôpital de La Roche-sur-Yon.
A compter du 2 février 2022 :
Le port du masque reste obligatoire en intérieur dans les établissements recevant du public conformément aux mesures gouvernementales.
Pour faire face à la circulation épidémique et à la cinquième vague, les mesures de freinage de l’épidémie sont maintenues sur l’ensemble du département.
Il convient de reporter ou d’annuler les évènements occasionnant des rassemblements tant intérieurs (salle des fêtes, salles communales, etc.) qu’extérieurs (concerts, feux d’artifice, cérémonies de remise de décoration, etc.) et ce malgré les dispositifs de précaution envisagés.
Cette consigne s’applique notamment aux cérémonies de vœux.
Le « pass vaccinal » est mis en œuvre dans le cadre du renforcement des outils de gestion de crise sanitaire. Il consiste en la présentation, numérique (via l’application TousAntiCovid) ou papier, d’une preuve de schéma vaccinal complet, d’un certificat de rétablissement de moins de six mois ou d’un certificat de contre-indication à la vaccination.
Le pass sanitaire « activités » demeure en vigueur pour les mineurs âgés de 12 à 15 ans.
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Prenez soin de vous et des autres!
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INFO COVID 19
à partir du 2 novembre 2020, le Centre socioculturel ferme ses portes aux Associations jusqu'à nouvel ordre et selon l'évolution de la crise sanitaire!